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Interview d’un professionnel de la communication

Interview d’un professionnel de la communication

Matthias-Leonhard Lang – Permanent chez Swissnova

 

Matthias-Leonhard Lang Formateur Swissnova Spécialiste bancaire, négociation et communicationSon expérience:

D’origine autrichienne, né à Tokyo, ce fils de diplomate fera ses études à Université de Saint Gall, pour finir par travailler 15 ans dans l’univers bancaire, dans la gestion de portefeuilles. Spécialiste des marchés émergents, travaillant en 5 langues, à 38 ans il décide de réorienter sa carrière dans la comédie! On le verra dans certains films (entre autre ‘Une histoire de fous’ de Robert Guédigian, Selection Cannes 2015, ‘Le voyage de Fanny’ de Lola Doillon actuellement à l’affiche, Pub Cailler et Montreux Jazz avec Bastian Baker), et il ira même jusqu’à monter des pièces de théâtre (‘Les Banquiers’ qui se joue depuis 8 mois à Genève et à Paris). Le monde des comédiens étant de fait très créatif et donc relativement aléatoire en terme de continuité et de stabilité, il décide de faire également des missions comme indépendant dans la formation d’adultes. Vous me direz : «Quoi de plus normal pour un fils et un petit-fils de professeur?» C’est ensuite lors d’un événement de l’ARFOR qu’il rencontrera Eva Simeth, notre précédente interviewée, qui lui présentera Swissnova. Swissnova l’embauche alors en tant que permanent !

 

Son travail chez Swissnova:

C’est un formateur très polyvalent qui s’exprime parfaitement en 5 langues, par exemple, pour le module de «Finance pour les non-financiers», où il saura sortir de l’image stricte de la banque pour travailler ce sujet sur le fond et le rendre plus intuitif. Encore le module «Prise de parole en public», que l’on peut facilement imaginer fascinant avec un comédien! Ou aussi, le module «Techniques de présentations et de négociation», «Techniques de communication interpersonnelle» ainsi que «Génération Y». De part son passé bancaire (gestion de portefeuilles chez KBL et Barclays), Matthias dispose d’une compétence métier et Soft Skills assez unique ! Matthias intervient donc fortement dans le monde bancaire notamment sur des problématiques sales et négociation.

 

Ce que Matthias vous apporte:

Faire un travail sérieux avec la légèreté d’un artiste.

D’abord, ce sont ces 15 ans comme cadre dans la banque, qui lui permettent de comprendre ce milieu très particulier et les problématiques inhérentes à cette activité et donc d’amener des formations de qualité.

Ensuite, c’est sa légèreté d’artiste, qui amène les participants à assimiler plus facilement les techniques entrainées et qui, dans le cadre bancaire, offre un nouveau regard sur les codes très sérieux de ces professions.

 

Ce qu’il aime chez Swissnova:

En premier, c’est la proximité relationnelle qui y existe. Car autant avec les autres formateurs qu’avec l’administration et la direction, il peut avoir rapidement un feedback et réagir de façon plus proactive.

En second, c’est l’efficacité dont font preuve ses différents interlocuteurs, comme Claire Cottron et Matthieu Collas.

En fin, c’est la bienveillance qui règne au sein de Swissnova. Ceci est d’ailleurs peu aisé à vous expliquer… Peut-être serait-il plus convaincant de vous inviter dans nos bureaux pour que vous le découvriez par vous-même!

 

Sa plus grande satisfaction:

C’est de voir des clients en redemander encore! Que cela soit pour une nouvelle session de cours ou même l’inscription de ses modules à un catalogue de formation d’une entreprise, c’est véritablement une preuve pour Matthias qu’il a réussi à toucher son public et à lui transmettre ses méthodes.

Doit-on former ses managers?

Doit-on former ses managers?

Faut-il vraiment donner une formation aux managers ?

Réflexion estivale s’il en est…

La question semble quelque peu provocatrice, mais réfléchissez bien, si vous  êtes concernés et selon les éléments qui suivent, si ma question est si déplacée que cela?

Tout commence par une autre question, récurrente cella-là, qui m’est posée systématiquement par les participants, lors de mes formations de management : »est-ce que mon manager a lui aussi suivi ta formation ? ».

 

À force de l’entendre, je me suis demandé plus existentiellement : « Mais à quoi sert mon travail en fait ? ».

J’ai déjà formé quelques milliers de managers depuis plus de 10 ans et je me demande , malgré ce nombre déjà honorable et sans compter tous ceux formés par d’autres consœurs et confrères : mais pourquoi doit-on réinventer la roue à chaque formation et la redonner, telle une litanie pressante et incitante???

Pourquoi donc, me suis-je dit, devoir reprendre le B-A-BA à chaque nouvelle session de participants ?
Si j’ai déjà formé leurs propres managers, qu’ont donc fait ces derniers avec leurs collaborateurs ? Les ont-ils aussi aidés à grandir ? Leur ont-ils transmis une partie de leur savoir ?

Voilà chers lecteurs, le questionnement qui est le mien en ce moment de mon existence professionnelle…

Sans parler de solution à proprement parler, il me semble essentiel de trouver des voies selon les quelques perspectives suivantes.

Le premier axe d’observation devrait nous amener vers ceci: si l’entreprise pourvoit des formations à ses collaborateurs sans avoir une ligne claire, visible, applicable et transmissible du haut vers le bas sur les bonnes pratiques managériales…. Et bien ce n’est pas gagné !

Si l’on se trouve face à des « YAKA-TAKA » et des « faites comme je dis et pas comme je fais », la vie est dure dans l’entreprise…. Très dure pour les collaborateurs, quelque soit leur niveau….

Lorsque l’entreprise est faite d’une taille suffisante, un département RH avec une personne(ou plus) chargée du « Talent Development Program » est souvent créé et une adéquation Compétence – Progression se voit construite.

Les autres entreprises, quelle que soit leur taille, peuvent aussi réaliser cette approche, sans que cela leur mobilise toutes les ressources.

La première approche est l’évaluation du collaborateur dans son parcours. Chacune et chacun peut trouver des méthodes, outils et approches et les faire correspondre à son environnement métier. Un consultant est souvent le bienvenu afin de démêler l’écheveau des points mesurables (KPI).

Une fois cette approche appliquée et les mesures effectuées, un delta dans certains domaines va permettre un choix dans une palette allant de la formation au coaching en passant par le mentoring (à l’interne souvent)  et autres moyens afin de permettre au collaborateur de s’améliorer et d’atteindre la croissance attendue.

Par contre, comment peut-on mesurer un collaborateur qui, comme dans mon questionnement, a suivi une formation de management ?

Tout d’abord et de façon évidente, une fixation d’objectifs suite à une évaluation doit se tenir dans un temps restreint. Le maximum devrait être tous les ans, avec des pointages minimum tous les 6 mois. C’est du travail, mais un suivi est essentiel dans cette activité.

Le luxe est de pouvoir s’orienter vers un 360°, qui permet tant à la hiérarchie qu’aux collaborateurs de ce manager de pouvoir s’exprimer sur la progression réalisée par ce dernier. Si une formation est donnée, il me semble naturel que le retour sur investissement puisse se mesurer.

De plus, je constate avec le recul que les formations qui s’ancrent le mieux sont celles qui ont la structure suivante :
– Formation (x jours)
– coaching individuel (x semaines après, juste 2 ou 4 heures max)
– Workshop pour questions, réponses et autres demandes sur des cas réels terrain, et cela, sous la forme d’un demi-jour deux fois par an.

L’avantage de cette approche est l’ancrage certes de la matière et de sa mise en pratique, mais c’est aussi l’opportunité, potentiellement, de permettre le mélange des managers ayant suivi le même type de formation.

Ceci peut donner non seulement une piqûre de rappel, mais aussi aider à rester imprégné des méthodes en se sortant un court moment de son quotidien de responsable, de lever la tête du guidon…

L’efficacité sur un long terme est réelle. Nous sommes tous soumis aux pressions du quotidien et de ce fait nous ne pouvons faire autrement que « d’oublier » les bonnes pratiques. En gardant ce type de fil rouge il y a fort à parier que nombre des participants vont pouvoir revivre les méthodes et approches, et que la continuité pourra s’inscrire dans l’entreprise afin que l’exemplarité soit une approche naturelle d’apprentissage au sein de celle-ci.

Pour ma part la réponse est claire : il est primordial de former les managers !

Abraham Lincoln disait déjà : «  si vous trouvez que l’éducation coûte cher, essayez l’ignorance ! ».

Imaginez les tourments d’un collaborateur qui face à un manager démuni se trouve coincé dans son quotidien à cause de cet axe hiérarchique… Faites une transposition sur ce que pourrait coûter le turnover si vous devez constamment réapprendre aux nouveaux arrivants les arcanes de votre entreprise et le métier…
Pour ma part, je suis rassuré sur l’apport de l’activité de consultant et de formateur, voire de coach ou team builder…


Et vous, qu’en pensez-vous ? Quelle est votre approche ? que voyez-vous comme résultats dans la vraie vie professionnelle face à vos propres collaborateurs?


Je vous laisse méditer sur ce qui précède et en cas de besoin, n’hésitez pas à nous faire part de vos inquiétudes et questionnements, notre métier est aussi là pour cela…

A très bientôt peut être en face à face pour un échange encore plus riche

Les « Learning Pills » sont-ils magiques ?

Les « Learning Pills » sont-ils magiques ?

Apprendre de manière ciblée

 

Les « Learning Pills », aussi appelées Capsules d’Apprentissage affinent l’offre de formation !learning_pills_infographie_formation_swissnova_geneve_vaud_neuchatel

 

Face à un monde professionnel en perpétuelle évolution, comment développer constamment les compétences nécessaires ; concilier efficacité et compétitivité, tant pour les collaborateurs que pour leurs supérieurs hiérarchiques ? Ceci, dans un contexte où les réductions budgétaires tendent à devenir la norme. Actuellement, l’employabilité réside non seulement dans une solide formation initiale, mais aussi dans la capacité d’adaptation des collaborateurs, autant que dans celle de leur hiérarchie. Pour rester dans la course et parer à toute situation, la formation continue est une clé indispensable.

 

Offrant un panel de qualifications à la fois large et pointu, la formation continue traditionnelle nécessite une implication des participants à long terme, en parallèle d’un effort financier parfois important. Mais est-il toujours utile de plonger corps et âme dans un cursus qualifiant ? Ne vaut-il mieux pas cibler les besoins individuels et sélectionner l’information pour offrir une formation ponctuelle répondant à une demande précise ? La nouvelle tendance des Learning Pills ouvre la voie.

 

Un apprentissage rapide

 

Ces capsules permettent d’acquérir rapidement et précisément la ou les compétences directement utiles, dans un contexte professionnel. Elles apportent ainsi des solutions quasi instantanées, dont la mise en place aisée et rapide permet une grande flexibilité.

 

Comparativement à la formation traditionnelle, ces capsules isolées mettent en exergue certains éléments en format réduit, répondant à un but pratique en apportant une prise d’autonomie en adéquation avec la demande du marché. Non-diplômantes, elles offrent un large choix.

 

Une formation économique

 

Le niveau d’implication du management en termes de catalyseur d’apprentissage dépend des entreprises au même titre que pour les formations traditionnelles. A contrario, l’élimination des frais de déplacement, de repas ou éventuellement de logement dans le cadre des formations en présence permet une importante réduction des coûts indirects. D’autre part, l’exceptionnelle flexibilité des horaires offerts par les formats en ligne permet aux participants de mieux gérer leur temps de travail.

 

Une évolution de la formation vers le digital

 

Les formats d’apprentissage traditionnels sont voués à disparaître. Tout est en train de changer : les modes de collaboration et les manières d’apprendre. Les nouvelles générations, bercées par les réseaux sociaux et la vie online ont déjà intégré les aptitudes, les comportements et les compétences 2.0. Dès lors, il est impensable que l’offre de formation future ne réponde pas à leurs attentes.

 

Les « Learning Pills » répondent donc à un besoin des entreprises et des employés, dont les habitudes ont évolués avec les nouvelles technologies. Elles permettent de développer des compétences de manière ciblée et rapide, mais également une grande flexibilité, puis qu’il est possible d’apprendre de chez soi ou de son travail. En définitive, les capsules d’apprentissage offrent une solution adaptée à l’entreprise autant qu’à l’employé.


Texte par Fabiola Vigna

Infographie par Lionel de Mercurio, avec Canva.com

Interview d’une passionnée de la transmission de compétences.

Interview d’une passionnée de la transmission de compétences.

Eva Simeth – Intervenante chez Swissnova Entreprise

 

Son expérience :

Sociologue de formation, elle a voulu aller plus loin dans l’application de la sociologie en entreprise et a passé avec succès un DEA en gestion d’entreprise. C’est alors que son professeur de DEA lui propose de l’assister pour les cours pratiques qu’Eva découvre sa passion pour l’enseignement.

 

Après 7 ans à l’uni, elle décide de faire des remplacements, comme aux SIG en tant que responsable de l’innovation et de la gestion du changement ; à l’Uni, cette fois pour conseiller les pédagogues ; pour finir chez Credit Suisse comme responsable de formation en Management & Leadership pour la Suisse Romande et le Tessin. C’est là qu’elle a véritablement pu faire ce qu’elle aime le plus : la conception et l’animation de formations, par exemple, en Management & Leadership.

 

Son travail chez Swissnova :

Après 4 ans chez Credit Suisse, elle rentre chez Swissnova. Elle devient alors intervenante formatrice pour les entreprises dans les domaines du management et des compétences interpersonnelles. Son public préféré est composé de nouveaux managers  : un nouveau chef d’équipe qui, outre les compétences techniques doit aussi développer des compétences sociales. Accompagner les participants dans leur évolution métier est au cœur de son travail et c’est ce qui la motive, comme le développement de la valorisation de soi, le personnal branding. Bref, c’est une passionnée de la transmission de compétences.

 

Ce qu’Eva peut vous apporter :

Eva est toujours disponible pour répondre à vos questions et concevoir avec vous la formation la plus pertinente. Ce qu’elle fait véritablement, c’est de vous transmettre avec enthousiasme ses connaissances. Elle comprend les besoins de différents publics et s’adapte pour leur permettre la meilleure évolution possible. Un exemple : certaines entreprises travaillent à l’augmentation du pourcentage de femmes cadres. Dans ce contexte, le public spécifique de femmes cadres est accompagné pour développer des stratégies efficaces de valorisation de soi, des outils pour augmenter la confiance en soi et l’utilisation consciente de ses compétences clefs.

 

Ce qu’elle aime chez Swissnova :

En un mot : la confiance. Cette confiance qui permet à un formateur de pouvoir créer une formation sur mesure pour obtenir le meilleur impact possible auprès des participants. Cette flexibilité qu’a Swissnova de laisser libre cours à la maîtrise de l’intervenant dans son processus de transmission.

 

Sa plus grande satisfaction:

C’est d’avoir des participants qui ont eu de très mauvaises expériences lors de leur scolarité et formation continue et qui finissent par retrouver le plaisir d’apprendre et d’utiliser leurs nouvelles connaissances.

Tendances des formations langues dans les entreprises de Genève et de Vaud

Tendances des formations langues dans les entreprises de Genève et de Vaud

Introduction

 

Le paysage de l’entreprise romande est en constante évolution, la maîtrise d’une langue étrangère et la culture internationale y jouent un rôle de plus en plus important.  Les entreprises ont souvent recours à des gens de plusieurs nationalités. Beaucoup d’entreprises comprennent désormais le bénéfice d’avoir des employés multilingues dans leurs équipes. Les langues étrangères se sont toujours révélées utiles pour le service client, le développement des affaires, les ventes, et la croissance générale de l’entreprise romande. Bien que primordiales, les langues étrangères sont elles désormais pour autant considérées comme une compétence à part entière ? Quelles sont les formations langues pratiquées par les entreprises de Genève ou de Vaud ?

 

Tendance 1: Beaucoup d’employés ont besoin de rafraîchir les compétences en anglais

L’anglais continue d’être une langue dominante dans le monde de l’entreprise. Bien que les marchés sont tournent de plus en plus rapidement vers les économies émergentes, l’anglais est toujours une compétence importante pour la plupart des travailleurs. Cependant 63% des sociétés rapportent une lacune critique dans les compétences en anglais mais seulement 20% de ces entreprises de Genéve ou Vaud font des formations en anglais. Dans de nombreux cas, les employés ont un certain niveau de maîtrise de l’anglais mais ont besoin d’améliorer ce qu’ils savent.Certaines entreprises veulent développer la maîtrise de la terminologie spécifique à l’industrie de leurs employés. A minima, presque toutes les entreprises veulent aider les travailleurs à acquérir les compétences avec les mots et phrases en anglais spécifique en milieu de travail afin de faciliter la collaboration entre les employés. Les lignes de production externalisées à l’étranger rendent le partage en langue anglaise particulièrement important.

 

Tendance 2: L’économie mondiale se déplace loin de sa dépendance à l’anglais mais…

Malgré la prédominance de l’anglais, les affaires sont de plus en plus menée par d’autres langues. Les 30 dernières années ont vu une proportion décroissante du PIB dans le monde entier venant de la communautés anglophones, et cette baisse devrait se poursuivre. 2 Les entreprises doivent être capables de parler et de vendre à d’autres marchés. Il ne suffit plus de simplement «traduire» la commercialisation mais bien de l’assimiler.  Quels types d’entreprises bénéficient de la promotion de nouvelles compétences linguistiques?  Les grandes sociétés multinationales ont un avantage évident: ils peuvent mieux collaborer et développer des relations plus solides lors des échanges à l’étranger en échangeant de façon locale. Cependant même les petites et moyennes entreprises qui opèrent en Romandie et exportent gagneraientt à renforcer les compétendes linguistiques de leur salariés. Le E-commerce rend plus facile que jamais la vente et l achat  à des clients ou partenaires de partout dans le monde…. Plus de la moitié des participants entreprises qui ont fait suivre des formations en anglais en Romandie proviennent de PME. Ils arrivent avec une variété de priorités et les besoins, la vente à l’étranger, le développement web, la sous-traitance ….

 

Tendance 3: Les employés ont besoin de se former grâce au e-learning ou aux formations à distance

Beaucoup de gens ont maintenant accès à Internet au travail, à la maison ou sur smartphones. Ils ont besoin que de leurs programmes de formation soit aussi omniprésent qu’Internet, accessible à partir de n’importe quel ordinateur ou appareil, n’importe quand. 83% des entreprises que nous avons interviewés ont insisté sur leur besoin de formations en anglais à distance sur Genève ou sur Vaud. Les grandes entreprises sont particulièrement désireuses de pouvoir profiter des occasions d’apprentissage à distance: 91% des entreprises interrogées veulent aider leurs employés à apprendre dans leurs déplacements.

Les entreprises de Genève ou de Vaud veulent aussi bénéficier de la possibilité d’inscrire certains employés à des programmes intensifs de formation, en particulier ceux qui facilitent la pratique de la conversation. Les formations en anglais par teléphone ou videoconférence sur Genève ou Vaud sont alors particulièrement adaptées.

Pour la plupart des employés de Genève ou de Vaud l’apprentissage e learning de l’anglais répond mieux à leurs besoins que l’ancienne approche de l’inscription des personnes en cours en classe physiques. Synchrone, ces environnements d’apprentissage en ligne permettent une plus grande flexibilité et efficacité que les classes traditionnelles et aident  les apprenants à communiquer en langue étrangère dans un contexte à faible risque.